Présentation Denver et son premier voilier

Bonsoir a tous.
Trentenaire (depuis quelques années) habitant entre Toulouse et Montauban. Marié 2 enfants (maman s y mettra tôt ou tard et surtout quand je serai bien formé et mes 2 fils sont impatient de s y mettre).
J ai découvert la voile il y a deux ans maintenant et après quelques sorties en location j ai franchi le cap et acheter avec mon collègue (voile 3 et assez aguerri) un Etap 20 avec en parallèle des stages au Glénan de prevu.
Il y a bien sûr un peu de travail dessus mais il sera bientôt prêt a naviguer. Sa remorque me permettra d alterner méditerrané et océan (au choix en fonction de la météo c est l avantage d être a 2h30 de chaques).
Du coup on est en pleine rénovation (un remplacement intégral des cordages, un passage des voiles en révision, une révision du moteur électrique et du 10cv de secours, un refit complet des oeuvres vives et morte, du pont avec le passage du revêtement anti dérapant a une résine scilicee, du vaigrage, l électricité sans oublier la remorque....) Bref il y a du taf mais on a peut de rien et avec de nombreuses années dans le bâtiment dernière nous et tout l outillage nécessaires on devrai y arriver.
Par contre après l avoir Greer et armer hier afin de prévoir les travaux on se retrouve avec pas mal de questionnement (notement sur la possibilité de mettre une balancine de bôme absente pour l instant et un pataras car il a déjà demater).
Sinon je cherche aussi une emplanture de mat, une chandelle, un fillet de filière, un capot de descente violet pas cassé....
Sinon je suis content d avoir trouver un espace où partager ma passion et suis impatient d échanger avec vous

Bon choix !

Nous avons navigué 6 ans sur Kirikou, Etap20 de 1981. Basés en Zélande. 3 expéditions en Ecosse, via le ferry Zeebruges/Hull.
Venons d'acheter plus grand et plus confortable pour pouvoir accueillir amis et petits enfants. Kirikou attend dans son hangar de voir si la génération suivante le réadoptera.

La balancine est indispensable pour éviter que la bôme ne frotte (trop) sur la capote au près et sous ris.

Nous n'avions pas de pataras et n'avons jamais dématé. La balancine contribue sans doute à tenir le mat au près et bon plein.

On avait cassé le capot (je suis passé à travers avec le mat entre les mains, et me suis cassé 2 côtes, aouch!). On l'a réparé en recollant les tranches avec de l'éther (qui soude le plexis) et en stratifiant par dessus à l'époxy. Le résultat était relativement esthétique et très solide.

Un moteur 10ch c'est bcp trop pour ce petit bateau. Nous avions un 8ch 2 temps qui était peu maniable du fait de sa puissance excessive.

En 6 ans, nous n'avons eu que 2 avaries un peu sérieuses :
- rupture d'un aiguillot et d'un femelot chaque fois par forte une houle arrière qui crée des efforts importants sur le safran. Ce type d'avarie est arrivée aussi au sistership de nos amis (Milonga). Si on part en expédition, ça peut être prudent d'avoir un aiguillot et un femelot de rechange.
- écrasement des roulements à bille du vérin de quille (à surveiller si le moulinage de la quille paraît difficile).

Un panneau solaire souple de 30W sur le pont nous assurait l'autonomie énergétique.
La tente de cockpit est un gros atout car elle offre une pièce supplémentaire au mouillage.

Super bateau, vif, passe partout, sportif et marin.
J'espère qu'on aura autant de plaisir avec le nouveau, un Dehler 34 de 1991 également dessiné par E. G. van de stadt.